Lors du lancement de la V3, une pause s'impose !
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Bonne fin de journée, l'équipe.

« Grande puissance de l'Antiquité, l'Empire perse étend ses frontières à coups de batailles furieuses. Ses armées sont menées par les trois fils du roi, les princes Tus, Garsiv et Dastan, un orphelin recueilli par le souverain. Alors qu'il conquiert le royaume d'Alamut, Dastan met la main sur une mystérieuse dague que la princesse Tamina, qui règne sur Alamut, cherche à protéger à tout prix. Très vite, il comprend que cette arme, don des dieux, peut inverser le cours du temps. Son possesseur a le pouvoir d'influer sur les événements. »
Prince of Persia compte plus d'une dizaine de volumes sur tout types de consoles de jeux et des millions de fans à travers le monde. Et pour s'y coller, du lourd: Disney, associé au producteur Jerry Bruckheimer - un attelage qui a déjà fait ses preuves avec la saga Pirates des Caraïbes (des milliards de bénéfices), qui veut cette fois encore lancer une franchise grand public. Tout les ingrédients de succès sont réunis. Du spectacle, évidemment, avec assauts, combats au sabre, courses-poursuites (dont un amusant rallye d'autruches) et sombres méchant aux pouvoirs terrifiants. Les effets spéciaux sont utilisés avec parcimonie et cela vaut mieux, tant il est compliqué de montrer le pouvoir de la fameuse dague sur le temps.

Mon avis : Ambiance orientale, envoûtante, est plutôt réussie, les décors majestueux et les costumes resplendissants. Ajoutons quelques bonnes répliques et le tour est joué. D'accord, ce n'est pas d'une originalité folle, mais c'est du bon boulot et j'en demande pas plus.

La Trilogie des périls constitue la suite d’une première trilogie, la Trilogie des joyaux. Comme lorsque l’on retrouve avec plaisir Garion pour la Mallorée, on a ici affaire au même phénomène avec Emouchet. Excepté que celui-ci a fort à faire d’entrée de jeu…

Résumé du premier tome :  "Je le savais, j’étais rentré à Cimmura avec le sentiment du devoir accompli, heureux d’avoir sauvé la vie d’Ehlana et tout remis en place : le Bhelliom au fond de la plus profonde fosse de l’Océan, Dolmant à la tête de l’Église d’Elénie. Azash, Annias et même Otha, le roi-limace, étaient morts.

Mais, foi d’Émouchet, j’avais un mauvais pressentiment. Les nouvelles que m’apportaient Ulath, Tynian et Bévier n’étaient pas bonnes. Il n’était question que de disettes, d’épidémies, de troubles. Mes pires craintes se confirment : dans tous les États du continent, des héros de l’antiquité soulèvent le peuple. De prétendus justiciers incitent les nobles à se révolter contre l’Empire de Tamoulie. Et il y a pire : les Trolls ont quitté leur foyer natal et envahi le nord de la Dalésie. Des guerriers reviennent d’entre les morts. Un nécromancien — homme ou Dieu — ramène des armées du plus lointain passé, fouille dans le folklore et donne vie à des monstres redoutables : des vampires, des goules, des hommes de l’aube et même ceux-qui-brillent.
Je savais qu’il nous faudrait subir un interminable hiver jusqu’au retour des Dieux. Je n’avais pas prévu que nous devrions affronter un nouvel ennemi auprès de qui les Dieux des Trolls étaient de joyeux drilles."

1. Les Dômes du Feu
2. Ceux Qui Brillent
3. La Cité occulte

Mon avis : Eddings se caractérise notamment par l'importance extrême apportée aux dialogues. Les descriptions sont minoritaires alors que les échanges entre les personnages principaux occupent la majeure partie des romans. Ca peut destabiliser dans un premier temps mis au final ça me permettait de mieux connaître et apprécier (ou détester) les héros. C'est particulièrement vrai pour la trilogie des joyaux et des périls.
Les dieux styriques sont plus mis en avant et les styriques ne se réduisent plus à Séphrenia, ce qui crédibilise un peu plus leur culture. De plus,sur la fin qui traîne en longueur et perd de son intérêt quelques 100 pages avant la fin pour un final ultime de quelques pages plus réjouissant. Une des caractéristiques de cette fin est d'ailleurs la volonté des époux Eddings de marier quasiment tout le monde.
Pour ma part j'ai trouvé la trilogie des périls un cran en-dessous de celle des joyaux où les personnages étaient plus entiers et l'histoire plus claire. Certes, certains nouveaux personnages comme l'empereur ou Elysoun valent le détour, mais la plupart des nouveaux arrivants me paraissent fades.

Après la Garden Party chez H&M, c'est Etam qui met l'été à même la peau. Bustier, soutiens-gorges de différentes formes, culottes et strings se parent de cerises sur fond blanc (qui a pensé à la Chantilly ?!) et c'est juste magnifique. Mais c'est comme sur les marchés : le kilo de cerise est [très] cher : comptez 50€ pour le bustier et 18€ pour lui assortir la culotte. Et pour encore plus d'été et plus de cerise , il existe aussi les robes. Courte ou longue, au choix (personnellement, j'opte pour la longue). Mais le prix est tout aussi élevé... (respectivement 55 et 50 euros).

Un sourire à en faire tomber plus d'une, un petit air jemenfoutiste mais pourtant étudié, la voix enraillée, l'accent charmeur et les yeux qui brillent. Bien sur il chante en français, bien sur il joue de la guitare. Ramon, 25 ans. L'espagnol de la Nouvelle Star. Oui, la photo est moche, je suis désolée. Promis, je repasse je vous en offrir une bien plus jolie dès que je l'ai !

Synopsis :  "La dernière bataille pour le pouvoir met en scène des hommes contre des rois et des rois contre des dieux. Mais la guerre entre les dieux eux-mêmes peut détruire le monde. Né d'un dieu mais élevé comme un homme, Persée ne peut sauver sa famille des griffes de Hadès, dieu vengeur du monde des Enfers. N'ayant plus rien à perdre, Persée se porte volontaire pour conduire une mission dangereuse et porter un coup fatal à Hadès avant que celui-ci ne s'empare du pouvoir de Zeus et fasse régner l'enfer sur terre. A la tête d'une troupe de guerriers courageux, Persée entreprend un périlleux voyage dans les profondeurs des mondes interdits. Luttant contre des démons impies et des bêtes redoutables, il ne survivra que s'il accepte son pouvoir en tant que dieu, qu'il défie son destin et crée sa propre destinée."

Mon avis : Le Choc des Titans est un film superbe et largement à la hauteur de ce que j'attendais. Les décors sont somptueux et les effets sont magnifiques. Je suis resté scotché à cette histoire. Louis Leterrier est resté fidèle  tout en y ajoutant du piment et plus de rythme, il filme merveilleusement avec des travelling très reussis qui nous emportent dans dans le film. On ne regarde pas ce film pour en apprendre plus sur la mythologie (quelques incohérences sont à noter) mais voir des créatures mythiques sur grand écran a toujours son petit effet.

En surfant sur 20minutes.fr, je viens d'apprendre qu'aux Philippines une nouvelle espèce de lézard géant vient d'être découverte ! Dingue tout de même qu'avec tout ce temps, on ne s'en était jamais aperçu ! En plus, le reptile mesure deux mètres de long et possède un double pénis, de quoi ravir ses femelles ! Blague à part, le reptile porterait le nom de Varanus bitatawa, et serait proche du dragon de Komodo.

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