Étant une passionnée de tout ce qui est en rapport au monde de l'horreur, de l'étrange ou du gore, je ne pouvais pas me passer à côté de ce jeu qu'est Silent Hill. Édité par Konami, il ne pouvait qu'être sublime tant dans l'histoire que dans les graphismes, si réels et pourtant... Un sentiment de mal à l'aise se traîne tout au long du jeu, parcourant tout Silent Hill avec Alex Shepard qui ayant été mis au repos dans un hôpital militaire à la suite d'une blessure (cette première cinématique m'a d'ailleurs fait penser à Hostel), va apprendre que son jeune frère Joshua a disparu. Il décide alors de partir à sa poursuite, et rentre alors chez lui, dans sa maison natale à Shepherds Glen. Mais rien n'est plus comme avant : une ville lugubre, où les trois quarts des habitants ont disparus. Une ville fantôme où règne un silence morbide accompagné de cris de différents monstres terrifiants, qu'Alex devra lutter pour sa survie. Dans la lignée des Silent Hill, Alex devra livrer combat avec un arsenal d'armes qu'il trouvera sur son chemin. Tout est bon à prendre : couteau, barre en fer, pistolet, scie circulaire... Et c'est d'ailleurs un point fort que j'aime dans ce jeu, car Alex ne possède pas bon nombre d'armes sophistiquées que l'on pourrait retrouver dans un bon Resident Evil, même si ces personnages sont membres des STARS. Ce jeu est bien évidemment interdit aux moins de 18 ans, car il présente des scènes de violence et de sang. Il est disponible depuis le 26 février 2009 en France, sur PS3, XBox 360 et PC.Article rédigé par Jellyka.
