Sam Raimi, réalisateur entre autre d'Evil Dead, nous a proposé cette année, Jusqu'en enfer, un film que j'ai eu l'occasion de regarder hier soir, et qui vaut le coup d'œil. Jusqu'en enfer, est un film de malédiction ayant des touches comiques qui égayent bien le genre. Christine, jeune femme ordinaire, fait tout son possible pour obtenir une promotion dans la banque auquel elle travaille. Face à son patron qui l'a trouve trop gentille, elle décide alors de refuser la demande d'une vieille femme, Mrs Ganush. La vieille femme d'origine gitane, se retrouvant alors à la rue, décide de supplier Christine, sans succès. Humiliée, elle lui jette un sort, une malédiction, celle du Lamia. D'origine latine, le lamia désigne une "sorcière", dans le film le lamia, est un esprit prenant la forme d'un bouc maléfique, emmenant ses victimes au fin fond de l'enfer, vouant leur âme à une damnation éternelle...

Synopsis : Les Mayas, l’une des plus fascinantes civilisations que la Terre ait portées, nous ont transmis une prophétie : leur calendrier prend fin en 2012, et notre monde aussi. Depuis, les astrologues l’ont confirmé, les numérologues l’ont prédit, les géophysiciens trouvent cela dangereusement plausible, et même les experts scientifiques gouvernementaux finissent par arriver à cette terrifiante conclusion. La prophétie maya a été examinée, discutée, minutieusement analysée. En 2012, nous saurons tous si elle est vraie, mais quelques-uns auront été prévenus depuis longtemps... Lorsque les plaques tectoniques se mettent à glisser, provoquant de multiples séismes et détruisant Los Angeles au passage, Jackson Curtis, romancier, et sa famille se jettent à corps perdu, comme des millions d’individus, dans un voyage désespéré. Tous ne pourront pas être sauvés…

Adaptation cinématographique du livre de Sophie Kinsella, Confession d'une accro du shopping, est un film très vivant, frai, et vraiment très drôle. En effet, il aborde de nombreuses émotions, notamment, le rire qui est utilisé dans les trois quarts du film mais également, les larmes, la tristesse, l'envie, l'inquiétude, aussi. Ce film est sortie sur nos écran le 20 mai 2009 et est disponible depuis le 14 octobre en DVD et en Blu-ray.

Pour ce qui est de l'histoire, et bien je dirais que c'est un conte de fée moderne, basé sur les côtés excentrique de la demoiselle. Becky Bloomwood, est une jeune fille écervelée, qui depuis sa plus tendre enfance, rêve de devenir une jeune femme, belle, qui est bien coiffée mais surtout extrêmement bien habillée, car, lorsqu'elle était encore qu'une enfant, ses désirs ne pouvaient être exaucer : sa mère, étant une grande économe, ne jugeait pas utile d'habiller sa fille comme les autres fillettes du coin. Mais, grâce à se persévérance, Becky, parvient à se trouver un job de journaliste pour un magazine botanique. Malheureusement, celui-ci arrête sa production, et elle se retrouve au chômage, avec une pile de dette à rembourser. Elle postule alors pour un magasine de mode, le rêve de sa vie, mais elle se voit refuser la place, car celle-ci a été donnée à une personne travaillant déjà dans l'entreprise. Elle accepte alors un poste de rédactrice dans un journal de finance - Ironique, n'est-ce pas? Surtout lorsque vous comprenez que c'est elle qui va donner les conseil pour gérer un budget, alors qu'elle n'est pas fichue de trouver des solutions pour sortir de son endettement. - Une complicité naît alors entre elle et son (beau) patron.

Avis : Je ne retiens que des bons moments envers ce film. Étant petite, j'aimais beaucoup ce conte allemand qui fut réadapté par les frères Grimm. Sous doute parce que j'aimais sa finalité : La sorcière, brûlée vive dans le chaudron. En regardant Hansel et Gretel, je me suis plongée dans mon enfance. Tout est féérie : la maison, surtout, est un paradis pour les enfants. Certains passages, par ailleurs,  restent vachement glauques, remplis d'émotions diverses. Les enfants que Eun-Soo va rencontrer sur son passage suite à un accident de voiture, ne sont pas des mômes ordinaires. Mais je ne vous en dirais pas plus, tout est là, le charme du film. Mêlant conte, fantastique, et horreur, Hansel et Gretel, est une pure merveille, touchant et troublant. Vous vous attendez sans doute à voir, cette méchante sorcière, attirée dans le chaudron à la fin, mais rien de tout cela (quoi que). L'inspiration de l'auteur a été bien plus loin. Adaptant ainsi le conte à sa guise, pour le plaisir des spectateurs.

Synopsis : Une jeune fille de 17 ans prénommée Bella Swan, quitte le cocon familial de sa mère à Phoenix, pour aller vivre dans celui de son père à Forks, et ça en plein milieu de l'année scolaire. Elle se fait très vite des amis, notamment, Eric, Angela, Mick, et Jessica. Mais, elle fait aussi la connaissance d'une famille quelque peu particulière les Cullen, un clan si réservé dont elle est tout de suite intriguée, et surtout attirée, notamment envers le plus jeune, Edward. Ils vont chercher tous les deux à se rapprocher petit à petit, attirés l'un par l'autre. Bella va ensuite découvrir le mystérieux secret qui plane sur sa famille ainsi que sur lui, ce qui ne l'empêchera pas de tomber irrévocablement amoureuse.